Des années après la fin de la guerre, la situation de la galaxie…
Mouis jusqu’au dernier épisode je n’étais pas convaincu par l’intérêt de cette saga, revoir Ulic après son châtiment n’avait pas grand intérêt. Mais au fur et à mesure du récit on découvre que malgré tout il est resté un Jedi et la confrontation finale est un résumé de tout ce j’aime dans Star Wars, l’une des plus grandes scènes que j’ai pu lire.
Appréciation : un épilogue agréable
Amazing Spider-Man : une fois n’est pas coutume j’ai bien aimé le travail de Spence sur ce début d’arc. En fait, j’ai l’impression que Spencer doit faire simple sur le Tisseur car tout est réussi ici et la conclusion du deuxième épisode est parfait.
FNSM : La série de Tom Taylor rentre dans l’intro de son nouvel arc, c’est efficace mais on reste sur sa faim.
Miles Morales : Je me suis beaucoup amusé sur ses épisodes entre l’action et la tentative de vie sociale et amoureuse de Miles, vraiment bien foutu !
Appréciation : enfin une revue Spider-Man ou j’ai pris du plaisir
Suite des aventures sur Zo, qu’est-il arrivé à Sanji ?
On continue cet arc de transition surprenant ou les choses vont globalement être calme mais l’on va se prendre un coup de poing avec les différentes révélations sur Sanji. Malgré mon retard je n’avais pas été spoilé et j’ai pris un bon coup de poing dans la figure. Bordel, Oda en a toujours sous le coude c’est dingue.
Appréciation : masterclass de tome de transition
Oh bordel, les 3 épisodes de HoX m’ont littéralement secoué. Dès le premier épisode, on comprend le rôle que la série PoX a sur celle de sa grande sœur et du coup nous entraine dans une saga qui fera passer par toutes les étapes. De l’action, des intrigues étranges et Hickman qui nous bluffe mais impossible de savoir comment. Bordel c’est fantastique !
Appréciation :Hype total !
À la poursuite de Rick Jones !
Je ne sais pas comment fait Al Ewing pour fournir quatre tomes d’affilé de ce niveau, cette série est tout simplement incroyable et chaque tome fait monté un peu plus la pression. De plus le côté graphique horrible/dégueu de Bennet est juste parfait, ça fait du bien de voir la galerie des monstre gammas aussi crades, très loin du sexy d’il y a quelques années. L’intrigue est passionnante, mais jusqu’ou ira Ewing ?
Appréciation : du caviar !
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