S01E05 : The Broca divide
SG-1 visite une planète habitée par des hommes
préhistoriques.
Un épisode d’excellente qualité avec un scénario agréable et
rythmé même si certains trucs sont abusé car les procédures de retour des
équipes sont peu travaillés. Gros travail sur le personnage de O’Neill et sa
capacité de résistance, il faut noter la prestation de Richard Dean Anderson
qui est impeccable. L’épisode regorge d’humour bien intégré qui fera la marque
de la série.
S01E06 : The first Commandment
Le chef de SG-9 se prend pour un Dieu et a réduit en
esclavage le peuple de la planète ou il se trouvait.
Le thème de l’épisode est bon mais l’exécution est
globalement chiante. L’acteur qui joue le faux Dieu surjoue à mort et cela
passe mal et toutes les péripéties sont globalement peu passionnante.
L’intrigue sur Carter passe à côté et ne sert pas à grand chose, du coup
beaucoup d’ennuie sur cet épisode qui aurait mérité beaucoup mieux.
S01E07 : the cold Lazarus
O’Neill touche un cristal qui l’assomme et un double apparaît.
Un épisode très réussi et touchant qui revient sur un événement
destructeur dans la vie d’O’Neill. Et c’est très fort car ce qui n’étais qu’une
péripétie dans le film pour expliquer rapidement le caractère d’O’Neill est ici
exploiter totalement en intégrant notamment sa femme. Richard Dean Anderson
joue avec brio l’homme du cristal qui ne comprend pas la notion de mort
physique. Bref une page se tourne pour O’Neill dans un superbe épisode.
S01E08 : The Nox
SG-1 part à la chasse à l’animal furtif et tombe sur
Apophis.
Un épisode très naïf dans son emballage mais bien plus
profond qu’il n’y paraît, il intègre une dose pacifique (trekkienne) dans SG-1
qui est un programme très militarisé. SG-1 se montre très buté et va devoir
apprendre de son aventure qui leur montre une nouvelle voie dans la lutte
contre les Goa’ulds. Je n’ai pas trop de souvenir du développement du peuple
Nox mais j’ai hâte de revoir cela.
S01E09 : Brief candle
Jack chope une MST qui le transforme en très très vieux.
J’ai pas grand chose sur cet épisode qui est bon, j’avais
oublié qu’O’Neill était drogué quand il fut séduit mais bon ça reste assez
léger comme épisode avec un soupçon d’humour même si Richard Dean Anderson joue comme une patate le petite vieux. L’intrigue reste réussi avec une
résolue simple et efficace.
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